Elevé en flamand, auteur d'expression française. Adolphe Nysenholc échappe à la déportation à trois ans. Il a mis un demi-siècle pour oser dire que sa vie avait commencé par la mort. Pour arriver à lui-même, il a dû s'arracher plusieurs masques. D’abord, spécialiste de Chaplin. Puis professeur de faculté. Sa première pièce de théâtre est une variante d'un mythe grec. La deuxième une parodie des évangiles. Enfin la troisième parle de sa mère assassinée.*
Et son roman, Bubelè l'enfant à l'ombre, évoque l'amour pour ses parents de guerre. Il est traduit en italien et en néerlandais.
En 2019, élu président de L'Enfant Caché asbl, il a mis sur pied une Année d'hommage aux Justes de Belgique. (www.enfant-cache.be)
* Mère de guerre a été présenté dans 7 pays
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