Il s'agit d'un théâtre de la possession. Il comporte trois volets :
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judéo-chrétien :
La Passion du diable -
judéo-ashkenaze :
Mère de guerre
Survivre ou la mémoire blanche
Les Nuits de ma mémoire (recueil)
A la vie comme à la mort
Kammerspiel
Charlie/ Pas Lui.
pièces courtes -
gréco-latin :
Les Amants de Thèbes
Inspiré au départ d'Ulenspiegel de Charles De Coster et du Dibbouk de Anski, le théâtre d'Adolphe Nysenholc s'articule autour de thèmes forts, comme la possession, la mémoire, les morts, non sans un humour particulier pour combattre la mélancolie.
Le Soir parle d'un "dramaturge très original" (28-09-1998). "Beaumarchais" à Paris est "enthousiasmé" par deux de ses textes, les Nuits de ma mémoire et la Passion du diable "des sujets forts, profondément humains, d'où le sens foisonne, une écriture à la fois précise et ardente et une grande rigueur dans la construction dramatique" (03-09-1999).
Voir l'introduction de Mère de guerre, Ed. Paradoxe, Paris, 2004